

artiste de la PARAPEINTURE

Les différents cycles artistiques à partir des années 50
L'inspiration de Kiwerski vient de l’avancée du soleil, et donc des ombres qu’il crée sur un support – toile ou canson.
Ses premières œuvres sont la retranscription littérale de ces petites ombres qui se dessinent sur sa table.
Il se saisit d’un crayon, en reproduit les contours, minutieusement, avec patience, en pensant au temps qui passe.
P A R A P E I N T U R E
LES (PREMIERS) PAS DU SOLEIL
Project no.1
P A R A P E I N T U R E
1997 - 2014
« La surface du globe est un seul et grand tableau virtuel. Je pose la toile sur le sol et le soleil dicte sa composition.
Au fur et à mesure que sa trajectoire avance, la scène évolue.
Entre chaque distance, il y a le temps »,
explique Richard Kiwerski.
Para - sol, bouclier contre le soleil ; Para - Peinture, peinture sans abat-jour.
disait Anka Ptaszkowska.







Bientôt les simples rayons naturels du soleil ne lui suffisent plus. Il doit tester le processus plus loin…
Alors il devient maître, maître d’œuvre et il bâtit les fondations de sa toile.
Ces fondations, il les invente en apposant sur sa fenêtre de nouvelles formes qu’il trouve dans son atelier : une racine d’arbre, une sculpture de son ami Pawel Jocz, une figurine exposée chez lui, un pot de glace, un bibelot…
P A R A P E I N T U R E
LES FILTRES DU SOLEIL


Au fil du temps Kiwerski expérimente les matériaux, notamment la peinture métallisée (or, argent, bronze).
Le métal par sa particularité réfléchissante, irisée, brillante répond à
l'envie de l'artiste de rendre ses toiles empreintes des rayons du soleil plus que dans la théorie. En pratique ces toiles-là brillent, irradient…
P A R A P E I N T U R E
Cycle METALIQUE







Project no.4
GROUPE ZAMEK
Premiers tableaux - années 50
En 1950-55, il a étudié l'histoire de l'art à l'Université catholique de Lublin. Il a été co-fondateur du Cercle des jeunes artistes (K.M.P - Koła Młodych Plastyków) et un membre du groupe Zamek.
Au cours de son activité au K.M.P et au sein du groupe Zamek il exerçait la peinture, des collages et assemblages.
La quête artistique de Kiwerski se caractérise bien dans son œuvre "Trucizna zabija powoli" ("le poison tue lentement") (1955), qui a été précisément créé à la suite de sa recherche d'une expression forte. Peu de temps après que le peintre a essayé de créer des tableaux dans l'esprit du surréalisme comme dans "Kobieta i Mrówka" ("La femme et la fourmi") (1957). La composition présente un portrait stylisé d'une femme sur un fond neutre couleur brique. Cette mise en page claire et simple se complique grâce à un élément surréaliste – une fourmi de taille surnaturelle apparaît à côté du visage de la femme.
À la fin des années cinquante Richard Kiwerski a changé son style et crée des tableaux abstraits suggestifs de nature structurelle "Łzy czyli zły" ("larmes donc colère") (1958), exécuté méticuleusement selon la facture du groupe Zamek exprimé dans le travail de Borowski, Dzieduszycki i Ziemski.
"Kobieta i Mrówka" ("La femme et la fourmi" - "Woman and Ant") (1957)
"Łzy czyli zły" ("larmes donc colère" - "Sadness so Anger) (1958)




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Richard Kiwerski.
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